Le
circuit de Budapest révèle peu de difficultés majeures, avec ces
virages dans tous les sens, d’où son sobriquet de "tourniquet"…
Malgré
cela, il n’en est pas plus lent, les pilotes gardant un rythme élevé
tout au long d’un tour. En fait, toute la difficulté réside dans le fait
qu’il est très dur de doubler ici, sauf dans les lignes droites, bien
entendu, mais elles sont si peu nombreuses…
Excepté celle des stands
et celle reliant kanyar 2 et 3, il y a peu d’opportunité de passer sans
encombre. La place sur la grille ne joue strictement aucun rôle, comme
on avait pu le constater en 1999, avec tous les pilotes au coude à coude
dans le 1er virage…
Quant à la météo, elle est assez variable, mais
dans l’ensemble, on peut quand même logiquement s’attendre à des
conditions de piste acceptables. Il faut partir assez chargé en pneus
pour pouvoir attaquer à quelques endroits clé ou tout au moins, se
permettre de ne réaliser qu’un seul stop aux stands, ce qui peut être
une des clés du succès, ici…